Département. C’est pas plié.

Alain Laurendon, lui même, le dit à ses interlocuteurs. L’élection du président du Département n’est pas jouée. Le vice-président aux routes, vainqueur d’une primaire au sein du groupe majoritaire a raison de douter. Le vaincu, homme de réseau, mobilise ses amis, met en avant un programme et se prépare. Bernard Bonne, qui a rapidement tourné la page observe avec distance. Le cabinet est impuissant face à des manoeuvres qui passent bien au dessus de sa tête. On en saura peut-être plus, ce 11 octobre, à l’occasion du déjeuner des anciens conseillers généraux. Certains ont l’intention de mettre les pieds dans le plat. Ceci dit, le grand public est totalement indifférent à un bras de fer qui peut aussi se lire dans le cadre de la métropolisation continue de la France.