« Pour que personne ne dorme à la rue ».
Après les expulsions policières successives des migrants sans papier de la Bourse du travail, de l’amicale laïque du Crêt de Roch et de l’Université, le collectif « pour que personne ne dorme à la rue » vient d’adresser un courrier aux maires de Saint-Jean-Bonnefonds, la Ricamarie, Unieux, Fraisse, la Talaudière et Sorbiers. Dans cette lettre les militants demandent aux élus de proposer des logements à ces réfugiés en instance d’examen.